1) Une strategie differente des autres producteurs

     

La stratégie de base des producteurs de luxe, est avant tout très différente des stratégies des grands groupes de distributions, qui est généralement de baisser les prix au maximum, alors que celle des produits de luxe est de maintenir des prix haut, avec une très bonne qualité ainsi qu'une rareté de leurs produits. La diminution des prix jusqu’à un assez haut pourcentage qui est d'ailleurs presque inconcevable dans les produits de luxe, provoquera une dévalorisation de la marque, qui en aucun cas ne doit les baisser à partir d'un certains montant, et ceci n'est absolument pas dans le but de faire un minimum de marche afin de rentabiliser leur vente; car d'après une source sure, des vestes vendus par "Dior" qui est vendu aux environs de 2000 euros, a des couts de production dérisoire d'environ 150 euros, ce qui leur procure une marge énorme.

 

2) Les consomateurs

 

 

  • En effet pour les consommateurs l'image de la marque est primordiale c’est pourquoi il est essentiel que la marque d'un produit de luxe soit identifiable par son style car sa valeur repose sur l'intégralité de son image. C'est pourquoi il est important que chaque produit que comporte la gamme soit identifiable et unique afin de se valoriser au prés des ces clients et de distinguer leur marques des autres concurrents.
  • En prenant compte le comportement des clients nous remarquons qu'en effet ce qui pousse les consommateur à acheter des produits de luxe sont :

  • Image d'une excellente qualité
  • La perception d'un prix très élevé, cette stratégie est nourrit par l'envie des acheteurs de se distinguer socialement, car pour les consommateurs plus les prix des produits sont élevé, plus le produit gagne de la valeur.
  • La notion de rareté : un produit de luxe ne peut être vendu en grande surface ni être possédé par trop de personnes.
  • Avoir un produit indémodable car "Le vrai luxe est immortel. Il a toujours existé, et toujours existera".
 

 

3) Strategie publicitaire

 

 


   

 Les publicités permettent aux grandes firmes du luxe (LVMH, PPR et Richemont) la distinction de leurs produits par rapport aux autres marques. Le client potentiel doit être captivé et intéressé par la publicité sur le champ, ce qui oblige ces firmes à investir massivement dans des  gros budgets publicitaires.

Aujourd'hui le secteur du luxe envahit 80% les pages de magasines de mode, cela sert a renforcé l'image de la marque ainsi que sa notoriété.

"L'objectif premier d'une publicité de mode est donc de communiquer avec le consommateur, et la communication passe lorsque le message envoyé est proprement décodé et compris par le public visé. Dans le cas de la publicité de luxe, la marque représente l'émetteur du message qui crée la campagne publicitaire avec un but précis en tête ; le consommateur regarde la publicité, interprète le message et soit il entre en action (en achetant le produit par exemple), soit il enregistre le message dans sa mémoire comme référence future. Cependant, le plus important est que le consommateur ait compris correctement le message publicitaire, qu'il ait perçu le produit dans sa globalité, et que le positionnement de la marque soit clair dans son esprit."( strategiesdecomduluxe.over-blog.com/article-14031067.html).

      Pour attirer un maximum de clients et venter la qualité et l'esthétique d'un produit, ces firmes font appels à des célébrités pour leurs publicités. Cette stratégie marketing a donc un pouvoir énorme sur le marché, ces personnalités ont une très grandes influence chez le consommateurs qui, voyant la célébrité portant un produit ont envie de se le procurer, car porter le même sac à main que par exemple Nicole Kidman est pour eux un luxe!

En 2009 d'après le cabinet de LexisNexis une étude à révéler que les grandes entreprises du luxe dépensaient d'énormes sommes d'argent pour payer le mannequin emblématique de la marque.

Ex: Charlize Theron l'égérie de la marque Dior a été payer 2 a 3 millions pour un contrat d’un an. Elle est parut en un an dans 1456 articles sachant qu'elle était payer 1717 euros par article.