Articles La crise et ces impacts

PPR

https://www.challenges.fr/luxe/20110912.CHA4128/pourquoi-francois-henri-pinault-s-interesse-a-brioni.html

 

     Le P-DG du groupe PPR, François-Henri Pinault,  annonce lors d’un déplacement en Chine qu’il est entré en discussion avec la marque Brioni, symbole du chic masculin à l’italienne.

Le P-DG du groupe PPR, François-Henri Pinault, annonce lors d’un déplacement en Chine qu’il est entré en discussion avec la marque Brioni, symbole du chic masculin à l’italienne. Il s’exprime par ailleurs sur d’éventuelles acquisitions dans la joaillerie.

 

 

https://www.lemonde.fr/economie/article/2010/02/18/ppr-resiste-a-la-crise_1307611_3234.html

 

PPR résiste à la crise

Le groupe français de distribution et de luxe PPR annonce pour 2009 un bénéfice net en repli de 0,8 %, à 712,4 millions d'euros et un chiffre d'affaires en baisse de 4 %, à 16,52 milliards d'euros. Le groupe, qui a entamé son recentrage sur le luxe et les marques de mode grand public avec la mise en Bourse d'une participation majoritaire dans sa filiale CFAO, ne donne pas de prévision pour l'exercice 2010 mais indique vouloir engager une "véritable offensive commerciale" sur ses marchés les plus porteurs, en particulier sur Internet et les pays émergents.

PPR s'est engagé dans un vaste plan de restructuration et de réduction de ses coûts depuis 2008 pour préserver ses marges face à la baisse de ses ventes. Sur le seul quatrième trimestre, la baisse des ventes s'est nettement ralentie, à - 2,3 % après un recul de 6,6 % sur neuf mois, grâce au rebond du pôle luxe, qui a vu son chiffre d'affaires progresser de 3 % et a permis d'amortir la très forte baisse de Puma (- 14 %). Dans le luxe, toutes les marques ont signé une hausse au quatrième trimestre à l'exception d'Yves Saint Laurent (- 3,9 %). La seule marque Gucci, qui compte pour environ 70 % des ventes du pôle et pour l'essentiel de sa rentabilité, a vu ses ventes progresser de 2,4 %. Dans la distribution, Conforama et Fnac ont vu leurs ventes se stabiliser tandis qu'elles ont baissé de 7 % chez Redcats, le pôle de vente à distance du groupe. Sur l'ensemble de l'année, les ventes reculent de 5,6 % en données comparables à 16, 52 milliards d'euros.

 

LVMH

https://www.lefigaro.fr/societes/2008/07/30/04015-20080730ARTFIG00208-lvmh-resiste-a-la-crise-economique-.php

 

  • Le groupe confirme son objectif de croissance «sensible» de ses résultats en 2008.

 

Le numéro un mondial du luxe échappe à la crise. LVMH, qui présentait hier ses résultats semestriels, s'est félicité de sa résistance « dans un contexte économique et monétaire incertain ». Bernard Arnault, PDG du groupe, a loué l'« exceptionnelle vitalité de nos marques phares malgré le fort impact de change, en particulier sur la mode et la maroquinerie ». Il a confirmé son objectif d'une « hausse sensible » des résultats en 2008, tant sur ses marchés historiques que dans les pays émergents. LVMH poursuivra le lancement de nouveaux produits, dont celui d'un parfum Dior Homme Sport incarné par l'acteur Jude Law.

Au premier semestre, LVMH a amélioré ses ventes et sa profitabilité. Le chiffre d'affaires a crû de 12 %, soit + 5 % après effets de change, à 7,8 milliards d'euros. Le résultat net du groupe atteint 891 millions, en hausse de 7 %. Dans une conjoncture défavorable, le n° 1 du luxe accroît sa marge opérationnelle, qui atteint 20 %.

Le groupe profite notamment de la performance de Louis Vuitton, qui enregistre une croissance organique encore supérieure à celle de la maroquinerie dans son ensemble (+ 14 %). Il a par ailleurs rassuré les marchés sur les résultats de sa branche vins et spiritueux qui avait fait les frais au premier trimestre d'une politique de hausse des prix. L'activité montres et joaillerie de LVMH, qui a acquis au printemps l'horloger Hublot, connaît la plus forte croissance (+ 15 %), dopée notamment par la marque Tag Heuer.

 

 

https://www.lefigaro.fr/societes/2009/02/06/04015-20090206ARTFIG00248-lvmh-veut-creuser-l-ecart-avec-ses-concurrents-.php

 

 « Les résultats 2008 illustrent la réactivité exceptionnelle de notre organisation en période de crise », a déclaré Bernard Arnault, hier, lors d'une conférence de presse au siège de LVMH, à Paris.

 

 

https://www.lefigaro.fr/societes/2011/02/04/04015-20110204ARTFIG00341-les-ventes-de-lvmh-ont-explose-en-2010.php

Un tel montant de chiffre d'affaires n'avait jamais été atteint par le leader mondial du luxe. Le résultat net a grimpé de 73% sur l'année écoulée, à 3 milliards d'euros. Pour 2011, les perspectives sont «excellentes».

Un «grand millésime». C'est ainsi que Bernard Arnault, PDG de LVMH, qualifie 2010. L'année dernière a en effet été particulièrement bénéfique pour le numéro un mondial du luxe, qui a enregistré un résultat net en hausse de 73% à 3,03 milliards d'euros. Plus marquant encore, le groupe dépasse pour la première fois les 20 milliards d'euros de chiffres d'affaires sur l'année, à 20,3 milliards, en hausse de 19%.

Les deux secteurs qui avaient sensiblement souffert de la crise de 2009, les produits montres et joaillerie (+29%) et les vins et spiritueux (+19%), ont opéré un net rattrapage. Tous les autres métiers du groupe affichent également des hausses : la mode et maroquinerie voit ses ventes progresser de 20% tandis que celles de parfums et cosmétiques bondissent de 12%. La marque phare, Louis Vuitton, enregistre à nouveau sur l'année «une croissance à deux chiffres de ses ventes».

Le groupe attribue cette performance à une «excellente dynamique en Europe, en Asie et aux États-Unis». Bernard Arnault, cité dans le communiqué, estime que «la qualité de nos produits, l'originalité de nos marques et le talent de nos équipes s'ajoutant à la reprise économique nous ont permis à nouveau de gagner des parts de marché partout dans le monde».

 

 

 

RICHEMONT

https://www.swissinfo.ch/fre/economie/Vu_la_crise,_le_groupe_Richemont_vend_moins.html?cid=7397002

 

   Vu la crise, le groupe Richemont vend moins

Le marché du luxe n'est pas épargné par la crise: le groupe Richemont en a ressenti les effets, avec des ventes en repli de 5% au second semestre de son année commerciale 2008/2009. En avril, premier mois du nouvel exercice, elles ont baissé de 19% par rapport au même mois de l'an dernier. En outre, Norbert Platt, CEO du groupe, annonce son départ pour la fin de l'année.

 

     Sur l'ensemble de l'exercice, le bénéfice du groupe suisse a reculé de 31% à 1,076 milliard d'euros, annonce jeudi Richemont. Il dépasse les attentes des analystes. Le bénéfice d'exploitation s'est contracté de 12% pour s'afficher à 982 millions d'euros. Sur l'année, les ventes ont en revanche progressé de 2% à 5,418 milliards d'euros.

    Alors que le chiffre d'affaires a été de bonne tenue durant les six premiers mois, la morosité économique a sensiblement freiné la marche des affaires au deuxième semestre.

    Et les ventes du premier mois de l'année commerciale 2009/2010 apparaissent inférieures de 19% à celles de l'exercice précédent. Les signes encourageants ne sont pas légion pour le moment et dans ces conditions, Richemont ne se hasarde pas à prévoir quand pourrait survenir un rebond.

   Le groupe possède un portefeuille de marques horlogères qui comprend Cartier, Vacheron-Constantin, Lange & Söhne, Officine Panerai, Piaget, IWC, Jaeger-LeCoultre, Montblanc et Baume & Mercier.

swissinfo.ch et les agences

 

https://www.usinenouvelle.com/article/luxe-la-crise-mondiale-a-fait-perdre-a-richemont-un-peu-de-son-brillant.N132574

 

Luxe : la crise mondiale a fait perdre à Richemont un peu de son brillant

 

    Le numéro deux mondial de l’industrie du luxe, dont le siège se trouve à Genève, a vu ses ventes se ternir de 4 % pendant l’exercice 2009-2010. Les montres et la joaillerie, dont les ateliers en Suisse emploient quelque 10.000 personnes, contribuent à un peu plus de la moitié du chiffre d’affaires.